Wednesday, April 28, 2010

La mort



Désolé d'être aussi peu présente sur mon blogue, ces dernières semaines, mais l'école prend tout mon temps! La fin de session est aussi rochante que la grève ne l'était pas.

En attendant mon fabuleux retour, je vous annonce une bonne nouvelle: je suis désormais la nouvelle rédactrice en chef du ComMédia, journal étudiant du département de communication de l'université de Montréal. Dès cet été, je vais y travailler, en améliorant le graphisme de la revue (objectif numéro 1)

Sur ce, je n'ai qu'un conseil à donner: lire la nouvelle partution du magazine URBANIA.
Le sujet chaud de l'heure: les médias sociaux version 2.0

Tout le magazin est génial! J'ai adoré le désign rappellant étrangement facebook et twitter

http://urbania.ca/canaux/magazines/1187/medias-sociaux


Friday, April 16, 2010

COMMÉDIA SPÉCIAL PUBLICITÉ


La nouvelle édition de comMédia est maintenant disponible à l'AÉCUM et au café de la com dans l'édifice Marie-Victorin, du campus de l'Université de Montréal. Je signe, bien entendu, la page couverture. Le thème : la publicité représentée par le bouche à l'oreille version pop art

Sunday, April 11, 2010

Ce cher Printemps



Voilà les exclusivités qui me font craquer, ce printemps, chez Printemps!





De plus, la boutique le Printemps redécouvre les classiques en réinventant plusieurs it-bag.
Comme ce sac à main Lady Dior offerte en Fuchsia, le Stage de Miu Miu (que j'adore à la folie!) ou même le Coco Cocoon de Chanel.

Si j’étais Birkin



Gainsbourg

Ce long-métrage m’a tout simplement charmé. Sa vie, ses déboires, ses amours. Surtout ses amours.

Avec ses femmes étonnamment belles. Sa double vie. Son érotisme.

Birkin. Forte, mais à la fois si fragile. Avec une grâce et une passion que j’envie…Éphémère, mais si attrayante, ce tremblement pur qui a chamboulé la vie de ces aimants.

J'ai visionné Daddy Nostalgie avec la vraie Birkin et son charisme crève l'écran.

J'ai adoré, tout simplement.

Tuesday, April 6, 2010

Confession d'une Manifesta




En tant qu’étudiante au baccalauréat en communication à l’Université de Montréal, et aspirante-journaliste, il était de mon devoir d’assister à la manifestation qui avait lieu aujourd’hui par les étudiants de l’université. C’était donc un baptême de manifeste pour moi. Tout d’abord, juste pour vous aviser que je n’ai pas le type manifestation. Premièrement, j’étais curieuse. Curieuse, car j’avais la chance d’y aller et je me suis dit pourquoi pas. Nous avions même des pancartes, de la musique, un ensemble de corps policier et des (vrais) journalistes.

Deuxièmement, je me suis dit que je devais y allais, car cette grève m’épuise au plus au point. Hier, encore une fois, les chargés de cours ont voté contre l’offre que l’Université leur avait déposée. Nous, étudiants, sommes donc privés de cours, et ainsi pris en otage par les deux partis.

Arrivée à Jean Brillant, où les autobus nous ont laissés, j’ai cru voir que quelques chargés de cours manifestaient eux aussi. Surprises et encore une fois curieuses, mes amies communicologues et moi-même sommes allées les interroger.

D’après eux, l’argent importe peu. Ce qu’ils veulent, c’est d’avoir des meilleures conditions de travail et surtout moins d’étudiants dans leurs classes. Ce qui m’a étonnée beaucoup c’est que parmi ces chargés de cours, il y en avait un qui m’enseigne (enseignait serait le mot juste, vu que je n’ai pas cours depuis 6 semaines) et étrangement, nous sommes moins que 30 dans son cours. Nous sommes loin de ces classes surchargées, bondées, entassées qu’ils prétendent. Généralement, lorsqu’il y a plus de 50 étudiants dans un cours, il n’y a pas qu’un chargé de cours, mais bien plusieurs avec parfois des auxiliaires aux corrections.

À l’instant , le syndicat des chargés de cours est (ENCORE) en négociations avec l’Université de Montréal. Rappelons que la date limite fixée par l’Université était hier, et que les chargés de cours pourraient compromettre notre session.

Moi qui ne voulais pas aller à l’UQAM à cause des grèves récurrentes, je me suis mise un doigt dans l’œil.

Conclusion : manifester est noble, que lorsque l’on s’appelle Yves Saint-Laurent si non, elle nous fait prendre royalement son temps.